Saint Eugène de Mazenod, Evêque et Fondateur de la Congrégation des Oblats de Marie Immaculée

La date du 21 mai de chaque année est un grand jour pour les Oblats de Marie Immaculée du monde entier et ceux du Congo en particulier, surtout ceux de Kinshasa ; car, non seulement elle se fête entre nous oblats, mais aussi c’est la fête patronale de notre complexe universitaire religieux : Institut de Théologie ISEM/IASMI Saint Eugène de Mazenod de Kintambo. Tout a commencé par la fête patronale de l’Institut. La messe a été présidée par monseigneur Timothée BODIKA, l’un des évêques auxiliaires de Kinshasa et ancien professeur de l’Institut. Malgré une pluie battante qui a failli perturber le programme, cette messe d’action de grâce a connu une affluence en commençant par son Excellence qui n’a voulu manquer au rendez-vous. Nonobstant le retard, son arrivée était bien attendue par toute l’assistance et en particulier par les acteurs liturgiques et les concélébrant du jour qui étaient déjà parés en tenu de culte. Les étudiants sont au rendez-vous malgré le mauvais climat et la grève des taximen qui ont rendu le déplacement problématique. Vers 9h 35mn, la procession commence et c’est le début de la messe. Parmi les nombreux concélébrant, se trouvent le supérieur provincial des oblats de Marie Immaculée, le Père Habel NSOLO et son vicaire, le Père Constant KENGE KENGE. A l’autel, un mot de bienvenu a été adressé à Mgr. par le secrétaire académique représentant du recteur empêché pour avoir voyagé. Après un petit discours d’une cordiale Bienvenue, Mgr. Continua la célébration Eucharistique sous l’animation de la chorale estudiantine de l’Institut. Dans son homélie, Mgr attire notre attention, en tant que missionnaires, d’être des pasteurs modèles, soucieux de la mission à l’exemple de Saint Eugène de Mazenod. Saint Eugène qui, vu son dévouement et celui ses fils pour la mission, a reçu la reconnaissance du Pape Pie XI le 24 Septembre 1938, qualifiant les Oblats des spécialistes des missions difficiles. Mgr nous a aussi exhorté à vivre une fraternité chaleureuse, une relation ouverte à nos diversités culturelles. Et lui-même se dit fier de Saint Eugène parce qu’en fait, s’il a incarné de telles valeurs, c’est parce qu’il a été formé dans un séminaire diocésain de Saint Sulpice à Aix en Provence. Il clôture son homélie par un souhait de bonne fête à tous et à chacun. A la fin de l’Eucharistie, le secrétaire académique prit une fois de plus la parole pour remercier l’assistance, les acteurs liturgiques, la chorale et pour réitérer sa reconnaissance à Mgr au nom de l’Institut en tant que représentant direct du recteur empêché. S’ensuit la bénédiction finale et la fin de la célébration eucharistie. Après un temps de pause, un match de volleyball a eu lieu affrontant les coalitions : Ière & IIème Théologie contre IIIème & IVème Théologie. Au bout d’un duel sans pareil, le match s’est soldé au 3ème sept avec la victoire des plus jeunes. Un pique nique fraternel issu des différentes communautés et la boisson de différent goût offert par l’Institut nous ont permis de refaire nos forces. Ce faisant une musique suave a rythmé nos appétits, enfin de quoi, les plus amateurs de la danse n’ont pas manqué d’esquisser quelques pas de danse pour souligner la beauté de la fête sous regard admirateur des autres qui sirotaient leur bière. Vers 15 heures, ce fut la débande du retour en communauté pour les uns et en famille pour les autres. Et c’était la fin de la journée pour ce qui est de l’Institut. Mais pas pour les Oblats qui ont prévu fêter les anniversaires des leurs à cette circonstance. En effet, les Oblats de la communauté du scolasticat avaient un programme spécial subjacent ; une messe spéciale a été organisée à l’occasion du 151ème anniversaire de la mort du fondateur, Saint Eugène de Mazenod. Célébration eucharistique au cours de laquelle, on joignit certains confrères dont l’anniversaire de naissance tombe en Mai. Celle-ci eut lieu à 18 h 30 mn. Le célébrant principal, père Jean BEDEL, omi n’a pas omis de remercier Dieu d’avoir donné à l’Eglise, Saint Eugène de Mazenod, un pasteur au cœur grand comme le monde. Par la même occasion, il implorer Dieu par son intercession, de donner des grâces nécessaires à nous, fils d’Eugène d’aujourd’hui, d’être des oblats selon son cœur. Ce fut aussi à l’occasion de rendre gloire à Dieu pour le don de la vie à nos confrères les Pères Jean-Baptiste MALENGE, Domenico ARENA, les frères Claude MAFUTA, Jacques TEBENE et Marc MUNIA dont la communauté fêtait l’anniversaire. La célébration pris fin vers 19h 30mn et nous nous rendîmes à la place de fête communautaire à l’esplanade de notre réfectoire. Toutes les conditions étaient réunies pour commencer la fête. Une place était préparée pour les fêtards. Ils prirent place et après la prière du diacre, le supérieur de la communauté le Père Paul MANESSA, déclare ouverte la réjouissance communautaire. Couronnée d’humour, des projections des films comiques, de certains confère se pris par surprise, dans des différentes circonstances, puis des cadeaux remis aux confrères fêtards. La fête pris fin autour de 22h. Repus et fiers de la journée, chacun pris le chemin de sa chambre respective. Ce fut une journée de festivité sans pareille. Jacques TEBENE,omi

La diaspora camerounaise au Congo fête le 20 Mai

Comme à l’accoutumée, chaque année, la diaspora camerounaise au Congo, précisément dans la ville capitale de Kinshasa se rencontre pour la célébration de leur fête nationale de l’unification du Cameroun. En effet, pour la petite ’histoire, à l’origine, on parlait du Cameroun anglophone et du Cameroun francophone, autonome chacun de son côté : c’est l’Etat Fédéral du Cameroun. Cette division est issue de la tutelle anglaise et française respectivement. C’est que les deux pays colonisateurs ont fait coalition pour chasser le premier, l’Allemagne qui a réussi, auparavant, à mettre fin à la tutelle espagnole d’antan. A l’issu du Référendum du 20 mai 1972, il y a eu la réunification des deux Cameroun. D’où, de la République fédérale du Cameroun, on passe à la République Unie du Cameroun avec un gouvernement central ayant à sa tête, un chef d’Etat, le président Amadou AHIDJO. C’est ainsi que les 475.000 Km2 du territoire national seront divisés en 10 départements à la tête desquelles règnent des gouverneurs dont les populations ont la pleine conscience d’appartenir un unique pays fondé sur les mêmes idéaux, les mêmes et un même patrimoine sur toute l’étendue du pays. Et depuis lors, chaque année, le peuple Camerounais se réjouis de cette unification qui jour pour jour, compte aujourd’hui, 40 ans. C’est dans cet ordre d’idée que la communauté camerounaise de Kinshasa n’est pas de reste. Chaque année, une messe est organisée à l’occasion par l’association des religieux Camerounais au Congo, ARCACO en sigle. Le lieu habituel de ladite messe est le Scolasticat des Oblats de Marie Immaculée de Kintambo (Kinshasa/RDC). A cette fête, l’ARCACO joint tous les laïcs Camerounais ainsi que les étudiants Camerounais et Camerounaises de Kinshasa. Notre représentant, monsieur l’ambassadeur n’a jamais été absent et honore toujours ce jour de sa présence. Mais cette année, nous avions remarqué son absence et aussi celui de son représentant, car empêchés. La messe a eu lieu à 10 h dans l’auguste chapelle des Oblats de Marie Immaculée de Kintambo. Elle a été présidée par le père Armand, Joséphite de Kimwenza assisté du père diacre Abraham HAMAN, omi qui a dit l’homélie. Cette messe a été animée par la grande chorale camerounaise composée des religieux et étudiants. Une chorale qui a mis en valeur la diversité culturelle du Cameroun à travers ses chants et qui par sa voix incomparable, a donné l’avant goût du réel et nous a fait vivre la nostalgie du pays. Elle a pris fin vers 12h 30mn. Après un petit temps de causerie, d’échange des nouvelles et de prise de photo en petits groupements dans la cours du Scolasticat, nous nous sommes retrouvés dans la salle de fête appelée ‘’Oser grand’’ pour la suite de la fête. Un repas fraternel a marqué la suite ; et comme d’habitude, une animation musicale a clôturé la journée. L’ambiance était de taille. Les forces refaite, la salle a été dégagée pour laisser libre place à la danse. Au rythme de différentes musiques, la communauté toute entière sans distinction d’âge, s’est réjouis chacun à sa manière jusqu’à 15h 00. Et à 15h 30mn, la fête a pris fin et ce fut la débandade totale. Ainsi, les compatriotes, tout heureux, se sont donné rendez-vous pour l’année prochaine. Qu’il plaise à Dieu de nous prêter longue vie et bonne santé. PATIZERE Jacques, omi.

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Semaine de la vie consacrée à la paroisse Bienheureuse Annuarite

Comme tout les ans, le 4ème dimanche de pâques est toujours réservé à la journée vocationnelle. Et nous en sommes cette année en la 49éme èdition qui a pour théme: les vocations don de l'amour de Dieu. A cet effet, dans le même sens l'archidiocése de Kinshasa nous a proposé de centrer notre réflexion sur les points suivants Dieu nous appelle par amour- Famille berceau et arche de l'amour et enfin lesprotagonistes de la vocation. Ne voulant pas être en reste la paroisse Bienheureuse Annuarite a tenu elle aussi à sa maniére a être à la page des évènement de l'Eglise. Les différents conférenciers invités à cette occasion ont tenu à nous rappeler que chaque fidéle chrétien doit prendre conscience et comprendre que les vocations sont un don de l'amour de Dieu pour l'Eglise, pour le diocése, pour la paroisse, pour chaque communauté et pour chaque communauté. Pour cela, la famille chrétienne, en tant que premiére communauté de foi, de vie, et d'amour est le lien normal de la croissance humaine, chrétienne et de la vocation des enfants. Cependant, les jeunes doivent être aidés par les ainés et d'autres jeunes expérimentés à la matiére. Toutefois, ils doivent se sentir eux mêmes protagonistes, selon leurs charismes personnels et dans la mesure propre à chacun.
Efin pour cloturer la semaine, nous avons tenu à participer à la messe célébrée par le cardinal Laurent Monsengo Passinia autour de la famille chrétienne qui s'est distinguée en particulier de religieux, religieues,novices séminaristes et aspirant(e)s. Un aprés midi folklorique nous à aider à nous donner rendez vous l'année prochaine pour un meilleur discernement ou approfondissement de notre vocation. D'ici là St. Jean invite tout en chacun quand il dit "Fleuris ou Dieu t'a planté, et porte un fruit qui demeur" Jn.15,16